Grossesse : quelques mois pour devenir parents

Si vous avez déjà lu l’article : récap de ma grossesse du 1er au 3ème trimestre, vous avez déjà une bonne idée de comment s’est déroulée cette grossesse. Si nous avons pu en profiter (compte tenu du contexte) pour faire plein de week-ends, sorties et découvertes, ces 9 mois ont aussi été un long cheminement dans notre apprentissage pour devenir parents. Je vous raconte, ici, donc, tout ce qui s’est passé de nos premières décisions aux principales étapes de la préparation de l’arrivée de ce bébé, sans oublier les outils et ressources qui m’ont bien aidée et le rendu de notre séance photos de grossesseReady ???

Prévoyez un petit moment pour lire l’article, il est long !

 Mais comment aborder un sujet aussi vaste en deux minutes de lecture  ? J’espère que l’article vous plaira quand même et n’hésitez pas à me laisser vos commentaires à la fin !

photo grossesse devenir parents

Devenir parents : premières décisions

Fille ou garçon ? on garde la surprise !!!

Une des premières décisions importantes que nous avons prises concernant cette grossesse a été de garder la surprise sur le sexe du bébé. C’est marrant parce que cela provoque pas mal de réactions quand on le dit autour de nous ou au corps médical comme si cela restait quelque chose de très rare. Certains s’inquiètent de la logistique et de savoir comment on fait pour préparer les habits et différentes affaires du bébé sans savoir le sexe. Pour d’autres, c’est simplement très étonnant. Enfin, il y a ceux qui pensent que nous savons le sexe mais ne voulons pas le dire  Je vous explique donc ici quelle est notre démarche et comment nous avons vécu notre décision.

Pourquoi ne pas demander le sexe ?

Tout d’abord parce que cela reste une belle surprise de le découvrir en vrai en même temps que l’on voit son bébé pour la première fois. Je pense que cela enseigne aussi la patience et donc d’attendre plus sereinement la venue de ce bébé. L’autre raison et probablement la principale pour moi, c’est qu’en apprenant le sexe avant de connaître l’enfant on a forcément tendance à se projeter comme on peut et cela passe souvent par imaginer qu’un petit garçon sera plutôt enclin à faire ou être comme ceci, quand une fille sera plus comme cela. Et ça c’est justement ce que l’on aimerait éviter car l’un des principes d’éducation qui nous tient à cœur c’est de privilégier au maximum une éducation non genrée, je vous en parle plus en détails un peu plus bas.

Les inconvénients à ne pas savoir le sexe ?

Pour moi, ce n’est clairement pas la logistique des préparatifs. Habiller un bébé de quelques mois sans savoir le sexe, ne me semble poser aucun souci . Quant à la déco, nous n’envisageons pas non plus un univers qui soit typé fille ou garçon donc aucun souci de ce côté là non plus. En revanche, il est vrai que ne pas connaître le sexe de l’enfant rend sa présence un peu moins concrète. On ne l’appelle pas par son prénom et on ne l’imagine pas concrètement mais c’est aussi magique de se dire que l’on va entièrement le découvrir à la naissance !

Education non genrée, quésaco ?

Les inégalités hommes-femmes ont la peau dure et commencent en fait dès la naissance. Comment peut-on, à l’âge adulte, se plaindre qu’une femme soit trop souvent assignée à la cuisine et un homme au bricolage quand, dès le plus jeune âge, on donne pour jouer des cuisinières aux petites filles et des boîtes à outils aux garçons. Voilà pourquoi il nous semble important de privilégier une éducation non genrée mais ça veut dire quoi concrètement ?

Essayer d’éduquer de la même façon un petit garçon ou une petite fille. De donner à un enfant les mêmes jeux, les mêmes perspectives et les mêmes référentiels quel que soit son sexe. On évite donc de perpétuer les clichés et on s’interroge sur l’incidence que cela a de qualifier de façon affectueuse une petite fille de princesse et de lui offrir des barbies ou de penser qu’un garçon sera forcément plus attiré par des sports ou des métiers considérés comme « virils »

éducation non genrée

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Ce ne sont que des exemples parmi tant d’autres mais, en gros, c’est faire attention à tout ce qui touche à l’univers d’un enfant et l’aide à se construire : la décoration de sa chambre, les surnoms qu’on lui donne, les livres qu’on lui lit, les sports ou activités qu’on lui propose… Ce n’est pas toujours facile, tant ces stéréotypes sont ancrés en nous mais une éducation non genrée vise à déconstruire tout cela dès la naissance pour arriver à élever des futurs adultes plus libres et ouverts d’esprit.

Devenir parents : préparer l’arrivée du bébé..

Aménagement de l’appartement

Rapidement après avoir découvert la grossesse, nous nous sommes posés la question de déménager. Nous avons même fait quelques recherches et une visite et nous avons décidé, finalement, pour plusieurs raisons, de rester là où nous sommes. Mais l’appartement, n’étant pas très grand, nous avons dû faire pas mal d’aménagements pour le rendre baby friendly.

> La chambre

Première étape, repenser la chambre pour pouvoir accueillir un berceau les premiers mois et une table à langer. Nous avons changé le lit de place, supprimé des meubles, rajouté des étagères, aménagé le dressing de façon plus efficace, puis, nous avons construit un support de table à langer que nous avons fixé sur une commode qui est, à présent, dédiée aux affaires du bébé. Bref, pas mal de changements que nous avons commencé dès le premier trimestre.

> Le salon

Ici, aussi, nous avons profité du premier trimestre pour faire du tri et du rangement. Nous avons poussé et réorganisé les meubles pour pouvoir rajouter un fauteuil (que nous commandons quelques mois plus tard) qui servira, notamment aux longues heures d’allaitement.

> La salle de bain

Probablement la partie la plus facile. Nous avons opté pour une baignoire pliable que nous plaçons sur le sèche-linge ; la table à langer se trouvant dans la chambre, pas de gros aménagements dans cette pièce. Nous rajoutons des rangements à notre étagère pour laisser de la place aux affaires du bébés et faisons pas mal de tri dans les tiroirs et le tour est joué !

> La (petite) chambre d’amis

C’est là où se trouve le gros du travail ! Nous avons une toute petite pièce comprenant un canapé pour les visites de la famille et des amis qui, une fois déplié, occupe quasiment toute la totalité de la pièce. Le sol en carrelage est inégal et des plus moches, les murs recouverts de peinture décrépite et le plafond d’humidité. Cerise sur le gâteau, les employés qui font des travaux dans l’appartement d’à côté on fait un trou dans le mur en maniant visiblement le marteau avec un peu trop d’entrain !!! Au deuxième trimestre, nous nous attaquons donc à cette pièce, faisons réparer le mur et au passage traiter et repeindre le plafond. Nous peignons nous-même les murs de la pièce et recouvrons le sol d’un vinyle imitation parquet. La transformation est immédiate ! Nous allons pouvoir en faire une jolie petite chambre pour le bébé.

Déco & aménagement de la chambre du bébé

Même si le bébé va rester dans notre chambre les premiers mois, nous tenons à ce qu’il ait, dès le départ, une pièce à lui et surtout avons besoin d’un espace pour ranger ses affaires. Première mission : les meubles et les rangements. Nous récupérons une des commodes de notre chambre pour en faire un premier espace de rangement pour ses habits. Je customize le meuble en peignant quelques tiroirs du même vert eau que nous avons sur une partie des murs et en recouvrant les autres d’un très beau vinyle autocollant avec des motifs vikings.

Puis, nous faisons un croquis d’un meuble que nous faisons construire par mon père. Nous adorons l’idée d’avoir un meuble 100% unique. Nous en profitons pour imaginer un design adapté à nos besoins avec un mélange d’étagères et une petite penderie. Ma mère confectionne des rideaux et des housses de coussins de couleur moutarde et nous imaginons un petit coin lounge avec des matelas et des coussins où nous pourrons nous installer avec le bébé en attendant de mettre un lit à cet endroit.

La chambre est, certes, toute petite mais fonctionnelle. Nous peaufinons la décoration avec des étagères octogonales également réalisées par mon père. Je peins le sommet du haut du meuble de mon père qui représente des montagnes enneigées et construit un mobile que nous accrochons au plafond. Je rajoute une mappemonde et quelques éléments de décoration. Nous aimons ce décor montagnes et aventures et les couleurs moutarde et verte de la chambre. Fille ou garçon, nous voulons un univers non genré, qui ait du sens pour nous et nous sommes satisfaits du résultat.

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Equipement 0 déchet (ou presque)

> Nos choix

Vous le savez probablement, nous essayons depuis quelque temps de limiter notre consommation et notre production de déchets. Et en parlant de déchets, l’équipement et les premières années de la vie d’un bébé sont probablement l’une des étapes de vie les plus consuméristes. Pour nous, devenir parents ne devait pas aller à l’encontre de nos envies et de notre vision des choses, nous avons donc réfléchi à un certain nombre de choix pour aller en ce sens dont :

  • les couches lavables, passés les premiers jours et la maternité, nous allons opter pour un système de location au tout début (les couches évolutives étant souvent trops grandes pour les 2 premiers mois) et, si tout se passe bien, nous allons nous équiper avec nos propres couches dans un second temps.
  • les lingettes et produits maison, nous allons également essayer d’utiliser au maximum des lingettes faites maison (merci au passage à ma maman pour la confection de nombreuses lingettes nettoyantes !) et nous allons essayer de faire notre propre liniment et de favoriser tous les produits solides ou avec le moins d’emballages possibles.
  • un équipement de seconde main, enfin, bien sûr, car ce qui entraîne une grosse consommation est aussi l’équipement du début. Aussi nous privilégions au maximum les équipements d’occasion. Pour être totalement honnête, c’est très chronophage mais, au final, on réalise quand même beaucoup d’économies et, surtout, on a la satisfaction de donner une seconde vie à des affaires et des objets qui ne vont servir que quelques mois.

Notre stratégie d’équipement

Habitant à l’étranger en pleine période de pandémie, nous n’avons pas eu la chance de pouvoir nous faire prêter des affaires (merci toutefois à ma cousine Emma qui a réussi à nous faire passer quelques habits premiers mois depuis le Portugal ). Il a donc fallu nous équiper entièrement, des body à la baignoire, de la poussette aux langes. Voilà donc comment nous avons procédé pour rassembler tout ce matériel majoritairement d’occasion (on pense toujours que si on se concentre sur l’essentiel un petit bébé ne demande pas tant d’équipement que ça mais, au final, quand on additionne tout, cela représente une grande quantité de choses !). Voilà donc où nous avons trouvé la plupart des équipements et tenues de seconde main :

  • Wallapop : site espagnol équivalant au site français leboncoin, pratique pour les gros achats ne pouvant pas être livrés mais qui demande pas mal de temps et d’énergie pour savoir si le produit est toujours disponible et aller le récupérer au point de rdv fixé avec le vendeur
  • Vinted : pratique pour les plus petits achats : tenues, jeux, accessoires, langes….L’avantage sur le Vinted espagnol est qu’il y a plein de vendeurs basés en France et donc de marques françaises
  • Groupe Facebook : notamment le groupe de mamans vivant à Barcelone

A savoir que nous avons fait attention à pouvoir laver les tissus et surfaces de tout ce que nous avons acheté d’occasion mais, qu’au final, il est beaucoup plus sain de mettre un bébé en contact avec des équipements et vêtements déjà utilisés car les produits chimiques présents dans les textiles et plastiques ont eu le temps de s’en échapper.

Pour ce qui est du reste (car nous n’avons quand même pas tout acheté d’occasion : poussette, matelas de change, livres…), nous avons soit acheté en France (lors de nos visites pour voir la famille), soit sur place, en Espagne, en essayant de limiter au maximum Amazon et les livraisons inutiles.

Liste de naissance 2.0

Et pour limiter la surconsommation (notamment de produits neufs) et les cadeaux de naissance « inutiles » ou en doublon, nous avons préféré faire une liste de naissance dans laquelle nous avons listé les équipements (majoritairement de seconde main) que nous nous sommes procurés avec la possibilité de participer à leur achat. Une façon pour nous de pouvoir rester fidèles à la façon dont nous souhaitons préparer l’arrivée de ce bébé et, pour les participants, de faire un geste en accord avec cela. Il existe, aujourd’hui, plusieurs sites qui permettent de référencer des articles issus de différents commerces ou achetés indépendamment. Nous avons opté pour le site Mes envies qui est assez pratique et simple d’utilisation.

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Confection maison : meuble, étagères, support de table à langer, bavoirs, lingettes lavables… tout le monde met la main à la pâte 

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Achat de lots de vêtements d’occasion sur Vinted

Devenir parents = comprendre le système espagnol

> Se familiariser avec le système

Devenir parents c’est aussi des responsabilités par toujours des plus fun. Et une des tâches les moins drôles a sûrement été de comprendre le système espagnol déjà pour tout ce qui est suivi médical, congé maternité, système de garderie, lieu et démarche pour accoucher…tout en prenant en compte les modifications liées aux normes de sécurité vis-à-vis du Covid. Mais le pire, aura été de faire le point sur les (nombreuses) démarches administratives à faire après pour déclarer l’enfant en Espagne et en France. Pour être honnête, on a clairement pris peur quand on a vu le nombre de démarches pour déclarer un enfant ici.

> L’angoisse des démarches espagnoles

Dans un très court laps de temps, il faut :

  • déclarer le bébé à l’Etat Civil
  • obtenir son certificat de résidant de Barcelone (demandé pour toutes les démarches administratives)
  • faire sa demande d’affiliation à la sécurité sociale
  • faire sa demande de carte de sécurité sociale
  • tout ça pour pouvoir ensuite être rattaché au centre médical local et pouvoir prendre un rdv avec le pédiatre de la sécurité sociale

Entre-temps, il faut aussi faire notre demande de congé maternité et paternité et faire les démarches françaises pour lui obtenir un document d’identité dès que possible. Pour rappel, il n’y a pas le droit du sol ici pour les enfants de parents étrangers nés en Espagne. Au bout d’un an de vie sur le territoire, il est possible de demander la nationalité espagnole. Mais en attentant, il faut donc une pièce d’identité française pour avoir un document officiel pour voyager. Il faut, pour cela :

  • faire traduire l’acte de naissance espagnol à l’ambassade de Madrid et rajouter le bébé à son livret de famille français (démarche qui peut se faire par courrier)
  • une fois les documents à jour réceptionnés, on peut prendre son rendez-vous à l’ambassade française de Barcelone (avec un mois d’attente au moins) pour faire la demande de passeport ! Easy, non ?

Solutions et organisation

> Les papiers : 

Heureusement, nous avons trouvé une solution pour nous simplifier la tâche : payer une entreprise qui s’occupe de la plupart des démarches côté espagnol (c’est très courant ici tant les démarches sont fastidieuses même pour les locaux). Il nous restera à gérer celles avec l’ambassade française mais cela nous enlève déjà une belle épine du pied !

> La crèche : 

Ici, il faut s’inscrire en mai pour la rentrée de septembre. On fait un choix de crèche (attribuée selon un système de points : adresse du domicile, si déjà d’autres enfants dans la même crèche, si une ou plusieurs demandes de crèches faites…) et on prie pour que ça marche. Mais du coup, c’est déjà raté pour au moins jusqu’en septembre prochain donc nous avons trouvé une crèche privée qui nous prendrait le baby à partir de mai jusqu’à fin juillet. On verra ensuite pour l’année prochaine.

> Le suivi médical : 

Le système de santé est différent du français. Il y a d’un côté le public, entièrement gratuit qui peut être très pratique mais avec ses inconvénients (délais parfois très longs, pas la possibilité de choisir son médecin, consultations avec des spécialistes pas toujours faciles…) et, évidemment, avec la situation sanitaire cela ne simplifie en rien les choses. D’un autre côté, on peut prendre une assurance pour aller dans des centres privés. Personnellement, j’étais déjà suivie par une gynécologue privée et j’ai continué ce suivi pendant ma grossesse. Nous nous voyions tous les mois pour faire le point sur l’évolution de la grossesse, faire les différentes analyses et examens de routine et faire des échographies. J’ai aussi eu les 2 échographies des 2 premiers trimestres dans des centres spécialisés. Ce suivi m’a très bien convenu car ma gynécologue est top, attentive sans être dans la surmédicalisation et elle m’a super bien accompagnée durant toute ma grossesse. Les autres avantages étant que Nathan pouvait aussi venir au rendez-vous (ce qui est rare par ces temps de covid) et qu’elle parle anglais, ce qui est très rassurant car mettre la barrière de la langue au milieu d’un suivi de première grossesse n’est pas évident, je pense.

> La maternité :

En revanche pour l’accouchement, après de longues hésitations, j’ai décidé de ne pas me faire accoucher par ma gynécologue dans la clinique privée avec laquelle elle travaille et de privilégier une des maternités publiques qui a une excellente réputation (moyennant une demande de dérogation car je dépends géographiquement d’une autre). Pourquoi un tel choix ? car les cliniques privées n’ont pas hyper bonne réputation pour l’accouchement : on pousse souvent pour des césariennes (bien plus rentables) et des accouchements plus médicalisés pour gagner en temps et en efficacité. La rentabilité semble être le mot d’ordre et l’écoute et la prise en charge du patient relayées au second plan. Ce n’est sûrement pas vrai partout mais cela revenait bien trop souvent dans les discussions avec les gens ayant accouché dans le privé. La Maternidad de l’Hospital Clinic, où je vais aller est, en revanche, réputée pour son personnel très à l’écoute, beaucoup plus axé sur un accompagnement et des accouchements physiologiques avec des salles nature au top. Bref, beaucoup plus en accord avec mes envies et besoins.

Se documenter pour devenir parents

Applications, livres, échanges avec des mamans de mon entourage, je me suis progressivement renseignée sur la grossesse, la maternité et comment devenir parents avec je pense, dans l’ordre, les préoccupations suivantes :

  • alimentation et tout ce qui est à proscrire durant la grossesse
  • les différentes étapes de la grossesse
  • le post-partum
  • l’allaitement
  • les soins et comment s’occuper d’un bébé
  • les principes de l’éducation Montessori
  • la préparation à l’accouchement (je vous en parle plus en détails dans un prochain article)

Voici quelques ressources qui m’ont bien été utiles :

> Applications :

  • Nurture, une application en anglais (la suite de l’application menstruelle Glow) qui permet de suivre sa grossesse jour par jour.
  • Grossesse +, une application qui permet, elle, de suivre sa grossesse semaine par semaine, avec une simulation 3D de la taille réelle du bébé
  • Alimentation Grossesse, je m’en suis beaucoup servi au début pour savoir quels sont les aliments autorisés et ceux à bannir
  • Yoga prénatal, que j’ai utilisé en version gratuite et payante (pour avoir un programme sur 30 jours) et qui a été un très bon support pour ma routine yoga matinale

> Livres :

  • J’attends un enfant de Laurence Pernoud – un classique mais très complet et une bonne base de départ pour se familiariser avec la grossesse et l’apprentissage de la parentalité
  • Bébé premier, mode d’emploi de Arnault Pfersdorff – un guide pratique qui couvre les principales problématiques des premiers mois et donne plein de conseils utiles pour s’occuper d’un nouveau-né
  • Mon corps après bébé, tout se joue en 6 semaines de Bernadette Gasquet, une mine d’informations pour tous ceux et celles qui, comme moi, ne connaissaient presque rien aux challenges de la période de post-partum avec des exercices et des conseils pratiques
  • Le guide de l’allaitement de Marjolaine Solaro & Marie-Christine Bourg-Charuau, qui comme son nom l’indique, parle du B.A.-ba de l’allaitement
  • Montessori de 0 à 3 ans de Paula Polk Lilliard & Lynn Lilliard Jessen, livre que je n’ai pas terminé. Si je ne suis pas fan de l’approche et de la façon dont est présentée la méthode Montessori, il y a quand même quelques bonnes notions et concepts à retenir lorsque l’on veut devenir parents
  • Le guide des massages de bébé de Sophie Dumoutet, plein de conseils pour faire des massages au bébé qu’ils soient à des fins de plaisir, pour le calmer ou encore l’aider à régler des soucis digestifs ou autres
  • Communiquer par signes avec bébé de Nathanaëlle Bouhier-Charles, que je n’ai pas encore lu mais qui sera bien pratique quand nous voudrons commencer à mettre en place une communication par signes
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Devenir parents et immortaliser ces instants

Enfin, nous essayons d’immortaliser au maximum ces premiers échanges avec ce petit être qui prend de plus en plus de place. Chaque soir, nous lui chantons une berceuse qui, nous l’espérons, l’apaisera plus tard et qu’il reconnaît déjà (à coup de pied quand la musique commence ?). Et pour nous souvenir de ces précieux moments, nous essayons de prendre plein de photos (vous en verrez nombre d’entre elles dans l’article : récap de ma grossesse du 1er au 3ème trimestre). Et histoire d’avoir des clichés de belle qualité, nous avons fait appel à une photographe française basée à Barcelone qui a passé 3heures avec nous un samedi de décembre pour prendre de jolis clichés de nous 2 et de mon gros ventre. Voici quelques-unes de ces photos prises par la photographe et retouchées par ma belle-soeur.

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